Chantier Abms de la berce du Caucase du 29 juin 2015 Ravinette, boulangerie, sana


Ce chantier avait pour but d'effectuer un premier passage sur tous les secteurs situés au nord de la D2. Mission accomplie, sauf pour le haut de la Ravinette où se situe de manière imprécise le périmètre de comptage.


Participants : Abms : Rose-Aimée, Jean, Patrice N., Philippe B.,


Secteurs traités :

1) Matin :

- la Ravinette, depuis le village, en descendant du premier affluent en rive droite, sauf la partie allant du village à ce confluent, jusqu'au petit pont où nous nous étions arrêtés le 23 juin,

- le deuxième affluent en rive gauche arrivant à ce point, en remontant jusqu'au chemin situé sous la route allant au village.

2) Après-midi :

- a) le premier affluent en rive gauche arrivant à mi-distance, en remontant jusqu'au chemin situé sous la route allant au village.

- b) le ruisseau partant au dessus de l'ancienne boulangerie,

- c) un passage rapide au sana.


Résultats :

1) Fauchage, pas de hampe florale en formation, la quantité de plants est en régression,

2) - a) idem que ci-dessus,

- b) une seule plante qui a été arrachée

- c) beaucoup de repousses, les plus grandes ont été fauchées, 7 d'entre elles commençaient à former des boutons floraux.

Remarques :

- Un coup d'œil sur le secteur non traité en haut de la Ravinette montre des plants vigoureux, la conclusion que nous en tirons est qu'ils ne sont pas situés dans le secteur de comptage, car ils auraient été arrachés avant de pouvoir se développer. Nous allons donc les traiter lors de notre prochain passage.

- Dans les secteurs fortement infestés, le sana, l'ancien secteur d'expérimentation, la Source, il faut passer toutes les 3 semaines.

- Après le pique-nique au bord du lac, nous avons fait une petite promenade digestive en passant par le barrage et le gué, triste constatation de la faillite de la méthode préconisée par les "scientifiques", une quinzaine de hampes de plusieurs mètres prêtes à fleurir, le développement de la berce n'y est pas maitrisé ! Arriverons-nous à faire admettre aux théoriciens que les faits sont têtus…


Conclusions :

Nos prochains chantiers seront destinés à l'arrachage des jeunes plants et au fauchage pour les repousses les plus vigoureuses, dont l'arrachage demande trop d'efforts physiques. L'expérience a d'ailleurs montré qu'à force d'être fauchés ils finissent par disparaître.


Et toujours la même chose : bravo et merci à celles et ceux qui agissent les outils à la main de manière bénévole.


JB